Theory of the Earth, Volume 2 (of 4) by James Hutton
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de part en part. Cette profonde fissure mérite qu'on la voye, et même
qu'on la pénètre. Elle est tortueuse, et dans quelques endroits si étroite, qu'à peine un homme peut il y passer. Quand vous y êtes engagés vous trouvez des places ou les sinuosités du rocher vous cache le ciel, plus loin elles le laissent apercevoir par échappées; ailleurs vous voyez des blocs de rochers engagés dans la crevasse, et suspendus au-dessus de votre tête.» In his route from Contamine to Bonneville, he observes, page 365, «Enfin vis-a-vis la Bonne-ville, ces mêmes escarpemens des bases du mole, présentent une grande échancrure, qui paroît être le vuide qu'a laissé une montagne qui s'est anciennement écroulée; ses débris sont encore entassés au-dessous de l'échancrure. Il paroît même qu'elle étoit plus élevée que ses voisines, j'en juge par leur couches qui montent à droite et à gauche, contre le vuide qu'elle à laissé. «§ 493. En suivant la route de servez, on voit sur sa gauche la continuation des rocs escarpés qui couronnent les montagnes situées au-dessus de Passy. Un de ces rochers est si élevé, et en même tems si mince que l'on a peine à concevoir qu'il puisse se tenir debout et résister aux orages. «C'est auprès de cette sommité élevée qu'étoit située une montagne qui s'éboula en 1751, avec un fracas si épouvantable, et une poussière si épaisse et si obscure, que bien de gens crurent que c'étoit la fin du monde.» Vitaliano Donati, who was sent from Turin to examine this phenomenon, says in his letter, which M. de Saussure transcribes, that the great snows, which fell that year in Savoy, increasing the operation of |
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