Frederick the Great and His Family by L. (Luise) Mühlbach
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did not spring from the brain of his Prussian majesty. And now for
the verses." And straightening the paper before him, he commenced. "Esclave malheureux de la haute fortune, D'un roi trop indolent souverain absolu, Surcharge de travaux dont le soin L'importune. Bruhl, quitte des grandeurs L'embarras superflu. Au sein de ton opulence Je vois le Dieu des ennuis, Et dans ta magnificence Le repos fait tes units. "Descend de ce palais dont le superbe faite Domine sur la Saxe, s'elevent aux cieux. D'ou ton esprit craintif conjure la tempete Que souleve ala cour un peuple d'envieux: Vois cette grandeur fragile Et cesse enfln d'admirer L'eclat pompeux d'une ville Ou tout feint de t'adorer." The count's voice had at first been loud, pathetic, and slightly ironical, hut it became gradually lower, and sank at last almost to a whisper. A deep, angry red suffused his face, as he read on. Again his voice became louder as he read the last two verses: "Connaissez la Fortune inconstante et legere; La perflde se plait aux plus cruels revers, On la voit, abuber le sage, le vulgaire, Jouer insolemment tout ce faible univers; |
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