nature and render reason dear to him. "Il est tempts que cette raison
injustement degradee quitte un ton pusillamine qui la rendront complice
du mensonge et du delire."

If reason is to rule, the usurper, religion, must be ejected; hence
atheism was fundamental to his entire system. He did not suppose
by any means that it would become a popular faith, because it
presupposed too much learning and reflection, but it seemed to him
the necessary weapon of a reforming party at that time. He defines
an atheist as follows: "C'est un homme, qui detruit des chimeres
nuisibles au genre humain, pour ramener les hommes a la nature, a
l'experience, a la raison. C'est un penseur qui, ayant medite la
matiere, ses proprietes et ses facons d'agir, n'a pas besoin, pour
expliquer les phenomenes de l'univers et les operations de la nature,
d'imaginer des puissances ideales, des intelligences imaginaires, des
etres de raison; qui loin de faire mieux connaitre cette nature, ne
font que la rendre capricieuse, inexplicable, et meconnaissable,
inutile au bonheur des hommes."




APPENDIX

HOLBACH'S CORRESPONDENCE


The following letters of Holbach are extant:

Holbach to Hume, Aug. 23, 1763.