A History of English Romanticism in the Nineteenth Century by Henry A. Beers
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walls," etc.; but even here, enthusiasm is tempered by good sense, and
Richard of the Lion Heart is described as an example of the "brilliant but useless character of a knight of romance." All this is but to say that the picture of the Middle Age which Scott painted was not complete. Still it was more nearly complete than has yet been given by any other hand; and the artist remains, in Stevenson's phrase, "the king of the Romantics." APPENDIX A. "Jamais homme de génie n'a eu l'honneur et le bonheur d'être imité par plus d'hommes de genié, si tous les grands écrivains de l'époque romantique depuis Victor Hugo jusqu'à Balzac et depuis Alfred de Vigny jusqu'à Mérimée, lui doivent tous et se sont tous glorifiés de lui devoir quelque chose. . . . Il doit nous suffire pour l'instant d'affirmer que l'influence de Walter Scott est à la racine même des grandes oeuvres qui ont donné au nouveau genre tant d'éclat dans notre littérature; que c'est elle qui les a inspirées, suscitées, fait éclore; que sans lui nous n'aurions ni 'Hans d'Islande,' ni 'Cinq-Mars,' ni 'Les Chouans,' ni la 'Chronique de Charles IX.,' ni 'Notre Dame de Paris,' . . . Ce n'est rien moins que le romantisme lui-même dont elle a hâté l'incubation, facilité l'eclosion, aidé le développement."--MAIGRON, "Le Roman Historique," p. 143. "Il nous faut d'abord constater que c'est véritablement de Walter Scott, et de Walter Scott seul, que commence cette fureur des choses du moyen âge, cette manie de couleur locale qui sévit avec tant d'intensité quelque temps avant et longtemps après 1830, et donc qu'il reste, au |
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