A Bibliographical, Antiquarian and Picturesque Tour in France and Germany, Volume One by Thomas Frognall Dibdin
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grossièretés, que nous ne rencontrons même pas chez nos journalistes
du dernier ordre, en ce qu'ils savent mieux leur monde, et que s'ils lancent une epigramme, fût-elle fausse, elle est au moins finement tournée. Mais vous êtes ANGLAIS, et par cela seul dispensé sans doute de cette politesse qui distingue si heureusement notre nation de la vôtre, et que vos compatriotes n'acquièrent pour la plupart qu'après un long séjour en France." p. 6. Towards the latter part of this most formidable "Tentamen Criticum," the irritable author breaks out thus--"C'est une maladie Française de vouloir toujours imiter les Anglais; ceux-ci, à leur tour, commencent à en être atteints." p. 19. A little farther it is thus: "Enfin c'est _en imitant_ qu'on reussit presque toujours mal; vous en êtes encore, une preuve évidente. J'ai vu en beaucoup d'endroits de votre Lettre, que vous avez voulu imiter _Sterne_;[4] qu'est-il arrivé? Vous êtes resté au-dessous de lui, comme tous les Imitateurs de nôtre bon La Fontaine sont restés en deçà de l'immortel Fabuliste." p. 20. But most especially does the sensitive M. Lesné betray his surprise and apprehension, on a gratuitous supposition--thrown out by me, by way of pleasantry--that "Mr. Charles Lewis was going over to Paris, to establish there a modern School of Bookbinding." M. Lesné thus wrathfully dilates upon this supposition: "Je me garderai bien de passer sous silence la dernière partie de votre Lettre; _un bruit assez étrange est venu jusqu'à vous_; et Charles Lewis doit vous quitter pour quelque temps pour établir en France une école de reliure d'apres les principes du gôut anglais; mais vous croyez, dites-vous, que ce projet est sûrement chimérique, ou que, si on le tentait, il serait de courte durée. Pour cette fois, Monsieur, votre pronostic serait très juste; cette |
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