A Bibliographical, Antiquarian and Picturesque Tour in France and Germany, Volume One by Thomas Frognall Dibdin
page 14 of 401 (03%)
page 14 of 401 (03%)
|
demarche serait une folie: il faudrait s'abuser sur l'engouement des
amateurs français, et ceux qui sont atteints de cette maladie ne sont pas en assez grand nombre pour soutenir un pareil établissement. Oui, l'on aime votre genre de reliure; mais on aime les reliures, façon anglaise, faites par les Français. Pensez-vous done, ou Charles Lewis pense-t-il, qu'il n'y ait plus d'esprit national en France? Allez, le sang Française coule encore dans nos veines; Nous pourrons éprouver des malheurs et des peines, Que nous devrons peut être à vous autres Anglais; Mais nous voulons rester, nous resterons, Français! Ainsi, que Charles Lewis ne se dérange pas; qu'il cesse, s'il les a commencés, les préparatifs de sa descente; qu'il ne prive pas ses compatriotes d'un artiste soi-disant inimitable. Nous en avons ici qui le valent, et qui se feront un plaisir de perpéteur parmi nous le bon gôut, l'élégance, et la noble simplicité. p. 25.[5] So much for M. Lesne. I have briefly noticed M. Peignot, the Bibliographer of Dijon. That worthy wight has made the versions of my Ninth and Thirtieth Letters (First Edition) by M.M. Licquet and Crapelet, the substratum of his first brochure entitled _Variétés, Notices et Raretés Bibliographiques_, _Paris_, 1822: it being a supplement to his previous Work of _Curiosités Bibliographiques_."[6] It is not always agreeable for an Author to have his Works reflected through the medium of a translation; especially where the Translator suffers a portion, however small, of his _own_ atrabiliousness, to be mixed up with the work translated: nor is it always safe for a third person to judge of the merits of the original through such a medium. Much allowance must therefore be made for M. Peignot; who, to say the truth, at the conclusion of his labours, seems to think that he has waded through a |
|