Autobiography of Friedrich Froebel $c translated and annotated by Emilie Michaelis ... and H. Keatley Moore. by Friedrich Fröbel
page 8 of 231 (03%)
page 8 of 231 (03%)
![]() | ![]() |
|
Und als er so, wie Wichard Lange richtig sagt, der Apostel des
weiblichen Gechlechts geworden war, starb er, der geniale, unermüdlich thätige, von Liebe getragene Mann.--SCHMIDT, _Geschichte der Pädagogik_, Cöthen, 1862, iv. 282. En résumé, Rousseau aurait pu être déconcerté par les inventions pratiques, un peu subtiles parfois, de l'ingénieux Froebel. Il eût souri, comme tout le monde, des artifices par lesquels il obligeait l'enfant à se faire acteur au milieu de ses petits camarades, à imiter tour à tour le soldat qui monte la garde, le cordonnier qui travaille, le cheval qui piétine, l'homme fatigué qui se repose. Mais, sur les principes, il se serait mis aisément d'accord avec l'auteur de _l'Education de l'homme_, avec un penseur à l'âme tendre et noble, qui remplaçait les livres par les choses, qui à une instruction pédantesque substituait l'éducation intérieure, qui aux connaissances positives préférait la chaleur du sentiment, la vie intime et profonde de l'âme, qui respectait la liberté et la spontanéité de l'enfant, qui enfin s'efforçait d'écarter de lui les mauvaises influences et de faire à son innocence un milieu digne d'elle--COMPAYRÉ's _Histoire Critique des Doctrines de l'Éducation en France depuis le XVIme Siécle_, Paris, 1879, ii. 125. We might say that his effort in pedagogy consists chiefly in organizing into a system the sense intuitions which Pestalozzi proposed to the child somewhat at random and without direct plan.--COMPAYRÉ's _History of Pedagogy_, Payne's translation, Boston, 1886, p. 449. Er war gleich Pestalozzi von den höchsten Ideen der Zeit getragen und suchte die Erziehung an diese Ideen anzuknüpfen. So lange die Mutter nicht nach den Gesetzen der Natur ihr Kind erzieht und bildet und dafür |
|