Baron D'Holbach : a Study of Eighteenth Century Radicalism in France by Max Pearson Cushing
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After a rather one-sided account of the most dreary characters and
events in Christian history, Holbach concludes: "Tel fut, tel est, et tel sera toujours l'esprit du Christianisme: il est aise de sentir qu'il est incompatible avec les principes les plus evidens de la morale et de la saine politique" (p. 208). 10. In _Recueil philosophique_, Londres (Amsterdam), 1770, edited by Naigeon. Reflexions sur les craintes de la Mort. Probleme important--La Religion est-elle necessaire a la morale et utile a la Politique. Par M. Mirabaud. 11. _Essai sur les prejuges, ou De l'influence des opinions sur les moeurs et sur le bonheur des Hommes_. Londres (Amsterdam), 1770, under name of Dumarsais. The book pretended to be an elaboration of Dumarsais' essay on the _Philosophe_ published in the _Nouvelles libertes de penser, 1750. The special interest connected with it was the refutation Frederick the Great published under the title _Examen de l'Essai sur les prejuges_, Londres, Nourse, 1770 (16 mo). The King of Prussia writing from the point of view of a practical, enlightened despot, took special exception to Holbach's remarks on government. "Il l'outrage avec autant de grossierete que d'indecence, il force le gouvernement de prendre fait et cause avec l'eglise pour s'opposer a l'ennemi commun. Mais, quand avec un acharnement violent et les traits de la plus acre satire, il calomnie son Roi et le gouvernement de son pays, on le prend pour un frenetique echappe de ses chaines, et livre aux transports les plus violens de sa rage. Quoi, Monsieur le philosophe, protecteur des moeurs et de la vertu, ignorez vous qu'un bon citoyen doit respecter la forme de gouvernement sous |
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